Serendip est de retour!
Pour cette seconde édition, le festival continue de convoquer l’heureux hasard en téléscopant les arts avec espièglerie.

Quel est le point commun entre une galerie exposant des installations sonores fantaisistes et poétiques, des machines, jouets ou cassettes bricolées, et une soirée où le cinéma d’avant-garde est confronté à l’art audio-video actuel ?
Ou bien, lors d’une même soirée, entre des hommes-orchestres déviants, un Giorgio Moroder de l’ombre, le renouveau de la rave music, une rencontre entre saxophones et synthétiseurs et des collectifs de graphistes activistes parisiens ?
Entre se décaper les tympans au beau milieu du chaos sonore (grind, musique improvisée, breakcore ou noise), des chansonnettes 8-bit, new-wave, voire karaoke, un duo déjanté synthé-batterie, les tsunamis sonores d’un trio japonais et des installations ludiques?

Toujours pas de réponse ? Quelques indices : traversé par la volonté de mêler pratique et réflexion, ce festival proposera des ateliers et rencontres pour comprendre les dimensions subversives de l’art brut et du lettrisme, la pratique du circuit bending, ansi que celles des photographes expérimentaux amateurs de la fin du XIXème.

Vous avez trouvé ?

Rendez-vous alors du 14 au 28 octobre, pour une nouvelle édition audacieuse et incongrue afin d’expérimenter ces arts décomplexés.